Guy Delisle : Sorti de sa bulle
9 avril 2025
Un article de V. Br. pour Télérama
De ses voyages, Guy Delisle faisait des BD. Il conte désormais des histoires et expose les planches.
PREMIERE FOIS
À 59 ans, le Canadien Guy Delisle, au succès international, a vendu ses albums à des millions d'exemplaires. Pourtant, il n'avait jamais ouvert aussi largement ses archives, ni autorisé une expo-vente de ses travaux. C'est maintenant le cas à la galerie parisienne Huberty & Breyne. « Pour moi, les planches de BD sont faites pour étre dans les livres. Mais j'ai intégré le fait que les gens aiment avoir chez eux des dessins des auteurs qu'ils apprécient. »
GRAND VOYAGEUR
À la fin des années 1990, son travail dans l'animation le conduit en Chine et en Corée du Nord. Il en ramène deux BD autobiographiques remarquées, Shenzen et Pyongyang, dans lesquelles il conte avec humour son quotidien et son dépaysement. Puis il accompagne son épouse, membre de Médecins sans frontières : une expérience retracée dans Chroniques birmanes (2007) et Chroniques de Jérusalem (2011). Désormais, il vit en famille à Montpellier. «On a arrété de voyager dès la scolarisation de nos enfants. » Sa paternité lui a inspiré Le Guide du mauvais père
Lire l'article complet dans le Télérama du 09/04/2025
Un article de V. Br. pour Télérama
De ses voyages, Guy Delisle faisait des BD. Il conte désormais des histoires et expose les planches.
PREMIERE FOIS
À 59 ans, le Canadien Guy Delisle, au succès international, a vendu ses albums à des millions d'exemplaires. Pourtant, il n'avait jamais ouvert aussi largement ses archives, ni autorisé une expo-vente de ses travaux. C'est maintenant le cas à la galerie parisienne Huberty & Breyne. « Pour moi, les planches de BD sont faites pour étre dans les livres. Mais j'ai intégré le fait que les gens aiment avoir chez eux des dessins des auteurs qu'ils apprécient. »
GRAND VOYAGEUR
À la fin des années 1990, son travail dans l'animation le conduit en Chine et en Corée du Nord. Il en ramène deux BD autobiographiques remarquées, Shenzen et Pyongyang, dans lesquelles il conte avec humour son quotidien et son dépaysement. Puis il accompagne son épouse, membre de Médecins sans frontières : une expérience retracée dans Chroniques birmanes (2007) et Chroniques de Jérusalem (2011). Désormais, il vit en famille à Montpellier. «On a arrété de voyager dès la scolarisation de nos enfants. » Sa paternité lui a inspiré Le Guide du mauvais père
Lire l'article complet dans le Télérama du 09/04/2025