François Avril - Finesse du trait, pureté des lignes
1 juin 2024
Un article de Christian Charreyre pour Arts Magazine International.
Héritier de la ligne claire chère aux dessinateurs de BD belges, cet artiste élégant a su créer un univers très personnel, emportant avec lui le spectateur dans ses paysages épurés.
CC : Comment passe-t-on de la bande dessinée à la peinture ?
FA : J'ai grandi avec la bande dessinée. J'ai toujours voulu en faire ; je n'avais cependant pas la discipline nécessaire. Cela demande un temps long entre le scénario, les crayonnés, l'encrage, la mise en couleur. Pour que cela fonctionne, il faut créer un univers avec un héros que l'on va suivre sur plusieurs albums. Une fois que tout est mis en place, on laisse de côté une liberté artistique au profit de l'histoire. Cela ne me convenait pas. Je me sentais bloqué. Il fallait que les choses aillent plus vite, que j'explore de nouvelles techniques, d'autres solutions, de nouveaux supports. J'ai fait quelques albums, puis j'ai eu envie de m'amuser sur le papier puis sur la toile en développant ma propre écriture. Vous avez débuté votre carrière par la presse, l'édition, la publicité. Votre démarche artistique personnelle est-elle très différente ? Elle est même radicalement opposée...
Lire l'interview complet dans Arts Magazine International
Un article de Christian Charreyre pour Arts Magazine International.
Héritier de la ligne claire chère aux dessinateurs de BD belges, cet artiste élégant a su créer un univers très personnel, emportant avec lui le spectateur dans ses paysages épurés.
CC : Comment passe-t-on de la bande dessinée à la peinture ?
FA : J'ai grandi avec la bande dessinée. J'ai toujours voulu en faire ; je n'avais cependant pas la discipline nécessaire. Cela demande un temps long entre le scénario, les crayonnés, l'encrage, la mise en couleur. Pour que cela fonctionne, il faut créer un univers avec un héros que l'on va suivre sur plusieurs albums. Une fois que tout est mis en place, on laisse de côté une liberté artistique au profit de l'histoire. Cela ne me convenait pas. Je me sentais bloqué. Il fallait que les choses aillent plus vite, que j'explore de nouvelles techniques, d'autres solutions, de nouveaux supports. J'ai fait quelques albums, puis j'ai eu envie de m'amuser sur le papier puis sur la toile en développant ma propre écriture. Vous avez débuté votre carrière par la presse, l'édition, la publicité. Votre démarche artistique personnelle est-elle très différente ? Elle est même radicalement opposée...
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