François Avril : Les champs magnétiques du Parcours des mondes
6 septembre 2024
Un artcile de Stéphanie Pioda pour La Gazette Drouot
Indétrônable, la,manifestatio gnermanopratine demeure l'événement de référence pour les arts extra-européens, avec une 23e édition placée sous le signe des célébrations du surréalisme.
L'esprit du poète et grand collectionneur d'arts extra-européens qu'était André Breton(1896-1966) souffle sur cette vingt-troisième édition du Parcours des mondes. Celle-ci se déroule en effet dans un contexte bien particulier: 2024 est l'année du centenaire de la publication du Manifeste du surréalisme, à l'occasion duquel le Centre Pompidou vient d'inaugurer une importante exposition. Mais c'est dans les collections permanentes du musée qu'il faut plonger pour mesurer combien les propositions des cinquante huit galeries, réunies à Saint-Germain-des-Prés, entrent en résonance avec l'esthétique poétique à l'oeuvre dans le « mur» de l'atelier de l'auteur de Nadja, conservé par l'institution. Les objets qu'il y a rassemblé, provenant des cinq continents, sont librement associés en fonction de sa subjectivité.
Lire l'article complet dans La Gazette Drouot du 06/09.2024
Un artcile de Stéphanie Pioda pour La Gazette Drouot
Indétrônable, la,manifestatio gnermanopratine demeure l'événement de référence pour les arts extra-européens, avec une 23e édition placée sous le signe des célébrations du surréalisme.
L'esprit du poète et grand collectionneur d'arts extra-européens qu'était André Breton(1896-1966) souffle sur cette vingt-troisième édition du Parcours des mondes. Celle-ci se déroule en effet dans un contexte bien particulier: 2024 est l'année du centenaire de la publication du Manifeste du surréalisme, à l'occasion duquel le Centre Pompidou vient d'inaugurer une importante exposition. Mais c'est dans les collections permanentes du musée qu'il faut plonger pour mesurer combien les propositions des cinquante huit galeries, réunies à Saint-Germain-des-Prés, entrent en résonance avec l'esthétique poétique à l'oeuvre dans le « mur» de l'atelier de l'auteur de Nadja, conservé par l'institution. Les objets qu'il y a rassemblé, provenant des cinq continents, sont librement associés en fonction de sa subjectivité.
Lire l'article complet dans La Gazette Drouot du 06/09.2024